Voyages dans l’espace, voyages dans le temps, cryogénisation, base lunaire, clones, robots féminins… Tout ce que le cinéma d’espionnage pulp comporte d’éléments science-fictionnels délirants est passé à la moulinette dans la trilogie Austin Powers qui, en pleine période 007 / Pierce Brosnan, décide de revenir aux sources de la franchise James Bond pour parodier la période sixties avec un sens du mimétisme étonnant. Si Jay Roach est le réalisateur des trois films, la vraie force créatrice de cette mini-saga est Mike Myers, omniprésent des deux côtés de la caméra.
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1997: Austin Powers de Jay Roach
1999: Austin Powers, l’espion qui m’a tirée de Jay Roach
2002: Austin Powers dans Goldmember de Jay Roach