Un siècle avant le capitaine Kirk et Monsieur Spock, Jonathan Archer dirigeait l'équipage de l'Enterprise NX-01
STAR TREK ENTERPRISE
2001/2005 – USA
Créée par Brannon Braga et Rick Berman
Avec Scott Bakula, John Billingsley, Jolene Blalock, Dominic Keating, Anthony T.Montgomery, Linda Park et Connor Trineer
THEMA SPACE OPERA I SAGA STAR TREK
Pour la franchise Star Trek, l’année 2001 marque la fin d’une ère. Le spin-off Voyager se termine en beauté et Rick Berman, le successeur de Gene Roddenberry, lance la mise en chantier du quatrième et dernier long-métrage mettant en scène l’équipage de La Nouvelle Génération : Star Trek Nemesis. Cette même année est lancé le cinquième avatar des aventures en prises de vues réelles de nos explorateurs préférés. Si les séries précédentes se déroulaient aux 23ème et 24ème siècle, Star Trek Enterprise fait le choix de raconter la genèse de la Fédération des Planètes Unies. Son action se situe cent ans avant les tribulations du Capitaine Kirk et de Monsieur Spock.
Enterprise narre les aventures du premier vaisseau de Starfleet capable d’atteindre une vitesse de distorsion 5 (Warp 5) : l’Enterprise NX-01. Un astronef dont l’intérieur, volontairement rustique, évoque plus celui d’un sous-marin que d’un vaisseau spatial. On assiste également aux balbutiements des technologies qui ont fait le succès des précédents shows. Ici, le téléporteur n’est utilisé que pour déplacer des charges inertes et pas des êtres vivants. De plus, à la différence de ses « successeurs », cet Enterprise ne dispose pas de rayons tracteurs qui sont remplacés par des grappins. Côté équipage, le navire est commandé par le capitaine Jonathan Archer incarné par le célèbre Scott Bakula (Quantum Leap, Desperate Housewives, NCIS La Nouvelle-Orléans). Son équipage est des plus cosmopolites avec notamment le docteur Phlox, un Dénobulien joué par l’épatant John Billinsley. Mais c’est surtout la sublime Jolene Blalock, dans le rôle du subcommandeur T’Pol, qui apporte une touche sexy à bord du vaisseau. Son personnage vit d’ailleurs une idylle avec l’ingénieur de bord. A noter aussi un changement important : le générique, qui bénéficie de magnifiques images d’illustrations de la conquête spatiale, est pour la première fois chanté.
Klingons, Vulcains et Andoriens
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